La Notion de tradaptation dramatique : Le cas de trop c’est trop, de protais asseng | July 2015 | Translation Journal

July 2015 Issue

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La Notion de tradaptation dramatique : Le cas de trop c’est trop, de protais asseng

La Notion De Tradaptation Dramatique

0.0 Résumé

On dirait sans crainte de contradiction que Trop c’est trop de Protais Asseng est une pièce de théâtre insolite. Ici, le dramaturge trame une intrigue dans laquelle pour la première fois dans l’histoire du monde, un homme est devenu «enceinte». Il s’agit de Monsieur Bakony qui avait déjà douze enfants par sa femme, Bissabey, mais en voulait le treizième pour recevoir une médaille nationale et pour être décoré Papa National. Par conséquent, sa femme l’a frappé d’une grossesse par des moyens magiques car trop c’est trop. Alors, nous avons essayé dans cet article de démontrer la tradaptation de Trop c’est trop, dans le but de participer au combat contre l’abus de femme, de promouvoir le planning familial et d’éveiller la conscience mondiale au dangers associés à la surpopulation qui aboutit le plus suivant à la famine, aux crises économiques et au chômage.

Mots clés: littérature, traduction, traduction littéraire, tradaptation, théâtre

1.0 Introduction:

Il existe grosso modo trois genres littéraires: roman, poésie et théâtre. Pour le roman et la poésie (des poèmes) on les lit en silence tandis que le théâtre est un spectacle destiné avant tout à être représenté devant un public. Alors, la traduction dramatique présente au traducteur un défi considérable à cause de cette nature particulière du théâtre en tant que genre littéraire. Par conséquent, le traducteur dramatique est censé faire attention pas seulement aux éléments dramatiques mais aussi aux types de drame telles que tragédie, comédie, farce, tragicomédie, etc.

1.1 L’homme et ses œuvres

    1. Sentiment douloureux
    2. Sentiment de surprise et d’étonnement
    3. Argot

Protais Asseng est né au Cameroun en 1950 dans une famille humble. Il a exercé au moins trois professions. D’abord, il est devenu cheminot à l’âge de l’adolescence. Puis il s’est retiré pour entrer au séminaire. Grâce aux bourses, il a poursuivi des études professionnelles pour se spécialiser finalement comme ingénieur. Selon sa biographie, rien ne semble l’orienter vers la littérature. Pourtant, il écrit depuis 1968 des pièces théâtrales. Parmi ses œuvres, J’accuse et Les funérailles ont connu un grand succès avant l’apparition de Trop c’est trop en 1981.

1.2 Le résumé de Trop c’est trop

Pour nous, Trop c’est trop c’est une pièce insolite dans la mesure où, pour la première fois dans l’histoire de l’homme, un homme est devenu «enceinte». Il s’agit de Monsieur Bakony, notre héros. Sa femme, Bissaby a déjà donné naissance à douze enfants. Mais cet homme en veut le treizième pour être décoré d’une médaille nationale par le Président de la République lui-même et pour être déclaré Papa National. Alors, sa femme le frappe d’une grossesse par l’intermédiaire de la poudre magique de Kapsiki, car trop c’est trop. Un sorcier et le meilleur gynécologue de l’époque ont, tour a tour, confirmé «la grossesse» de notre héro. Cet événement bizarre qui se déroule au Cameroun déclenche une réaction mondiale. La gazette du peuple, le New York Times, le Figaro, la BBC, la Voix de l’Amérique et Radio France Internationale en parlent. Il y a aussi un afflux de lettres de félicitations et de bénédictions en provenance de l’Inde, de l’Allemagne, de la France, de Moscou, du Pape, de l’ordre d’Homosexuels, etc. Humilié jusqu’au bout, l’homme reconnait ses torts. Ensuite, sous menace de sa femme, il s’engage devant la radio, la presse et la télévision, à militer contre l’abus de femme. Par conséquent, on dirait sans crainte de contradiction que Trop c’est trop est une pièce de propagande qui cherche, par des moyens comiques, à souligner d’une part, le problème de la surpopulation, et d’autre part, la nécessité du contrôle des naissances.

Donc, nous avons entrepris la traduction vers l’anglais de Trop c’est trop, une pièce de théâtre de Protais Asseng dans le but de participer au combat contre l’abus de femme et de la surpopulation, de promouvoir le planning familial, de démontrer la théorie de la tradaptation dramatique et de présenter l’homme et son œuvre au public anglophone. Puisque la traduction de Trop c’est trop est destinée au public anglophone mondial, nous croyons que la représentation théâtrale de la pièce ou même sa lecture aidera à éveiller la conscience mondiale au danger que pose la surpopulation, qui se traduit actuellement par la famine, des crises économiques et le chômage.

2.0 Réflexions théoriques et méthodologiques

2.1 Définition de la traduction

Pour renforcer les fondements du cadre théorique de ce travail, nous donnerons quelques définitions classiques de la traduction. Flamand définit la traduction comme “... rendre le message du texte de départ avec exactitude (fidélité à l’auteur) en une langue d’arrivée correcte, authentique et adaptée au sujet de la destination (fidélité au destinataire)” (50) Chez Nida, la traduction, “...consiste à produire dans la langue d’arrivée l’équivalence naturelle la plus proche du message de la langue de départ, d’abord quant à la signification, puis quant au style” (30). Selon Mounin, théoricien linguiste français, la traduction suppose “... le passage d’un monde culturel à l’autre” (61).Pour Newmark, la traduction consiste à “... rendering the meaning of a text into another language in the way that the author intended the text” (5).[...rendre le sens d’un texte d’une langue à l’autre selon l’intention de l’auteur (La traduction est à nous.).]

2.2 Définition de la littérature

Généralement, on considère le corpus de textes disponibles dans chaque domaine de la connaissance humaine comme littéraire. Ainsi, en peut parler de la littéraire Américaine, littérature médicale, littérature religieuse, etc. Dans notre cadre contextuel, la littérature se définit comme une création artistique, fictive, anesthétique réalisée à travers l’imagination et le langage humain. Il existe grosso modo trois genres littéraires: roman, théâtre et poésie. On considère la traduction d’un texte tiré d’un genre littéraire comme la traduction littéraire. Il s’agit donc dans ce travail de la traduction théâtrale ou dramatique.

2.3 Qu’est-ce que le théâtre?

Le théâtre “vise à représenter devant un public, selon des conventions qui ont variées avec les époques et les civilisations, une suite d’événements où sont engagés des êtres humains agissant et parlant» (Robert 1775). Jacques Chevrier (175) voit le théâtre comme l’ensemble des pièces d’un pays ou d’un auteur, qui «pose publiquement des problèmes qui tourmentent (la société) et qui … (est) pour le peuple, à la fois, source de la culture nationale et pédagogie.» Pour Styan, le théâtre est simplement «quelque chose créée par la coopération entre l’auteur, l’acteur, le metteur en scène et le public.»

A partir de ces définitions, on peut dégager les éléments théâtraux suivants: public, langage, acteur, mise en scène, etc. Considérons maintenant ces éléments théâtraux par rapport à la notion de tradaptation théâtrale.

2.4 La notion de tradaptation

Comme nous avons déjà signalé, la traduction d’une pièce de théâtre pose un problème particulier dans la mesure où la pièce est avant tout, destinée à être représentée devant un public, selon certaines conventions théâtrales et non seulement à être lue. Ce trait a donné naissance à la notion de tradaptation, un mot dérivé de deux autres: «traduire» et «adapter». La tradaptation consiste donc à traduire une pièce de théâtre, tout en l’adaptant en sorte qu’elle soit jouable dans la culture cible. Elle vise non seulement à répondre aux besoins du public destinataire, mais à produire sur lui les mêmes effets théâtraux comme effets comiques, tragiques, divertissants, didactiques, etc. dans la langue d’arrivée. Donc, pour René Dionne, «Un tradapteur doit être bon en français, se passionner des dictionnaires et un peu partout, être curieux et bien sûr, posséder le sens du dialogue et du rythme» (122). La question qui se pose ici c’est: «Comment peut-on «tradapter» les éléments théâtraux?

3.0 La tradaptation des éléments théâtraux

3.1 Les acteurs (personnages)

Les acteurs sont les personnes qui jouent les rôles des personnages dramatiques. Donc, la tradaptation d’un personnage théâtral consiste à le recréer dans le texte d’arrivée. En le recréant, le tradapteur doit tenir compte des traits caractéristiques qui le distinguent des autres personnages dans la pièce. Autrement dit, il faux que la tradaptation aboutisse à la recréation d’ «une personne entière …qui réagit, qui est calme ou choquée, triste ou heureuse et dont le langage traduira le plus possible ses états d’âmes» (René Dionne 122). Autrement dit, la tradaptation est censée refléter le sentiment d’un personnage sans l’atténuer ni l’exagérer. Voici des exemples.

Trop c’est trop (LS)

Enough is Enough (LC)

BAKONY: Sorcier Manga-Mbo, voici six mois que dure mon calvaires… Non, non, Grand Sorcier, ne me dis pas que (moi un homme) je suis enceint…Incroyable..ce n’est pas possible… c’est impensable…Je n’y crois plus, ni à la science…non…ni aux sorciers…Je ne crois plus en rien…en personne…

BAKONY: Manga-Mbo, the sorcerer, my Calvary has lasted for six months… No, no, Great Sorcerer, don’t tell me that I (a man) am pregnant…Unbelievable, it’s not possible… it’s unthinkable… I no longer believe in either the science or sorcerers… I no longer believe in anything or anyone…

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough

BISSABEY: Bizarre…Bizarre…Attends un peu, mon cheri…Comme c’est bizarre!

BISSABEY: Strange…Strange…Darling, wait a minute…How strange it is!

On peut également envisager le théâtre comme le lieu de dévoilement des rapports humainstraduits par l’usage langagier: rapports familiaux, amoureux, égaux, maitre-esclave, conflictuels, etc. Donc, le tradapteur doit tâcher d’identifier les différentes sortes de rapports dans le textes source afin de les transférer vers le texte cible.

3.2 Le langage

Le langage théâtral se présente essentiellement sous forme de dialogue. Parlant de ce langage, Simpson (138) a ceci à dire:

Unlike the written work, a novel for instance, where the reader can choose his reading time and duration, and can check up unfamiliar terms and expressions, drama leaves no room for what we may cal suspended participation – listening, watching … Hence, the terms used, the structures of the discourse and the level of the language must be within the normal reach of the average member of the audience. (A la différence d’une œuvre écrite, comme par exemple le roman, où le lecteur pourra non seulement choisir le temps convenable et la durée de sa lecture, mais aussi chercher les mots et les expressions difficiles, le théâtre ne fait pas de la place à ce que l’on pourra appeler la participation suspendue, c’-à-dire, le spectacle, l’écoute … Ainsi, les termes employés, la structure du discours et le niveau stylistique de la langue doivent être a la portée normale d’un spectateur moyen. La traduction est à nous.)

En ce qui concerne les acteurs eux-mêmes, ils doivent parler avec les aisances naturelles. D’ailleurs le réalisme linguistique exige que chaque personnage soit caractérisé par son langage selon son contexte socioculturel. Par conséquent, le tradapteur est censé transférer tous les niveaux stylistiques de la langue, comme langue familière, langue courante, langue soignée, langue de spécialité, etc. de la langue de départ à la langue d’arrivée. Ceci permettra aux acteurs dans la langue d’arrivée de parler avec les mêmes aisances que ceux de la langue de départ. Voici des exemples des niveaux stylistiques de la langue tirés de Trop c’est trop.

L’argot c’est “l’ensemble de termes, de locutions ou de formes grammaticales dont usent les gens d’un même groupe social ou professionnel, et par lesquels ils se distinguent consciemment des autres groupe” (Dubois 75). Ainsi, on parle de l’argot sportif, de l’argot scolaire, de l’argot des gangsters, etc. L’argot correspond en quelque sort au jargon, qui est une langue jugée incorrecte, déformée ou parfois incompréhensible par rapport à la langue courante et standard. Dans certaines cultures, ce sont particulièrement les analphabètes qui l’utilisent.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Ok, vas-y votre chemin.(12)

Ok, make you carry go.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Ton ventre n’en continue pas moins à prendre du volume (99).

Your tummy doesn’t slow down in swelling up.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Hé, tu as l'air en superforme! Vise-moi ce ventre plein de bonnes choses! Elle te gâte bien, cette brave Bissabey. (103)

Ho! You’re in top form! Just take a look at this protruding tummy! Good old Bissabey spoils you a little.

(ii) Langue courante

La langue courante correspond dans ce contexte à la forme standard de la langue française. C’est la forme de la langue qui «tend à supprimer les écarts en imposant une forme unique entre toutes les formes dialectales» (Dubois 449). Autrement dit, c’est la forme de la langue à laquelle tous les Français doivent s’inscrire. Voici des exemples.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

BAKONY: Ta bonne humeur gracieusement affiché n’est pas forcément communicative. (p 111)

BAKONY: Your graceful display of humour is hardly communicative. 

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

BAKONY: Une telle chose, est-elle possible? Est-elle imaginable? (p 115)

BAKONY: Is such a thing possible? Is it imaginable?

(iii) Langue littéraire

L’usage de la langue littéraire exige l’adhérence rigoureuse aux règles et aux conventions linguistiques. Autrement dit, la langue littéraire correspond à la forme standard de la langue. Voici des exemples.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Cher Monsieur,

C’est pourquoi le gouvernement indien vous invite à tenir des conférences favorables à la limitation des naissances dans nos principales villes.

Veuillez agréer, cher Monsieur, l'assurance de nos salutations les meilleurs. (129)

Dear Mr. Bakony,

It is for this reason that the Indian government is hereby inviting you to come and hold a series of public lectures on birth control in our major cities.

Yours faithfully.

(iv) Langue de spécialité

Lorsqu’on parle de la langue de spécialité, on parle essentiellement de la langue employée par des professionnels appartenant à un domaine particulier de l’ensemble de connaissances humaines comme la médecine, la géographie, l’automobile, l’informatique, etc. Voice des exemples

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Premières contractions, dilatation du col de l’utérus. Vérifier la progression de la tête d’enfant dans le tunnel du bassin…Pratiquer l’épisiotomie …Délivrance…Expulsion du placenta! (138)

Initial contractions…dilatation of the neck of the uterus…Check the progression of the baby’s head…Carry out episiotomy…Delivery…Expulsion of the placenta.

(v) Les proverbes

Le proverbe est une maxime populaire exprimée en peu de mots, traduisant une vérité générale et traditionnelle. Dans les mots de Finnegan, “Proverbs are generally marked by terseness of expression, by a form different from that of ordinary speech, and by a figurative mode of expression abounding in metaphor” (199). [En général, les proverbes sont marqués par le laconisme d’expression, par une forme écartée du langage de tous les jours et par les figures rhétoriques saturées des métaphores (notre traduction).] Toutefois, leur emploi dépend de la communauté linguistique. Chez les Blancs par exemple, surtout dans une communauté traditionnelle anglaise on les ignore. Selon Hornby, les Anglais emploient rarement des proverbes dans leurs expressions quotidiennes. “...they [les proverbes] are thought of as the sort of remark that would be made by someone who is rather dull, someone who cannot express in his own words what he thinks or feels, but who has to borrow a proverb from the language to do this” (xxvii). [...on considère les proverbes comme une sorte de remarque lancée par une personne bornée, qui ne peut pas exprimer dans ses propres mots ses pensées ni ses sentiments, mais qui doit emprunter un proverbe pour s’en tirer (notre traduction).] Hornby finit par lancer un appel aux gens d’éviter, autant que possible, l’emploi des proverbes, s’ils veulent se faire bien comprendre.

Mais l’attitude des Africains à l’égard des proverbes est diamétralement opposée à celle des Blancs. Au contraire, les Africains attribuent la connaissance approfondie des proverbes et leur manipulation adroite à l’intelligence et à la sagesse. Chez eux, le proverbe joue un rôle indispensable dans le discours oral. Considéré comme vérité d’expérience et conseil de sagesse, le proverbe est destiné essentiellement à avertir et instruire les gens. Alors, les écrivains africains exploitent ce phénomène tout en enrichissant leurs œuvres de proverbes de toutes sortes. Voici quelques exemples.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

Les temps sont revolus ou l’habit ne faisait pas le moine.

Gone are the days when cowls did not make monks.

(v) Les idiotismes

Un idiotisme c’est une expression ou une construction propre à une langue donnée et qui, le plus souvent, n’est pas traduisible littéralement dans une autre langue. La traduction des idiotismes pose des difficultés considérables, surtout au traducteur dont les connaissances d’une ou des deux langues de travail sont superficielles. Pour faciliter la traduction des idiotismes, nous proposons un des procédés techniques de traduction de Vinay et Darbelnet, c’est-à-dire, l’équivalent. Alors, on doit chercher l’équivalent de l’idiotisme comme dans des exemples suivants:

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

BAKONY: Attends seulement seulement que je sois revenue et je vous monterai à tous non seulement que je suis un homme, mais aussi de quel bois je me chauffe.

BAKONY: Just wait until I come back and I’ll show you all that I’m not only a man but also what stuff I’m made of.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

BAKONY: Tu as trainé mon nom dans la boue!

BAKONY: You have dragged my name to the mud.

Trop c’est trop (SL)

Enough is Enough (TL)

BISSABEY:Hou, là… là…tu sors tes griffes!

BISSABEY: Oh dear me!... you are battle ready!

Conclusion

En guise de conclusion, nous avons essayé dans ce travail de démontrer l’application de la théorie de tradaptation dans la traduction théâtrale. Une pièce de théâtre très bien tradaptée aboutira à l’unification de la culture source et la culture cible. Non seulement la pièce sera-t-elle jouable dans la langue cible, elle charriera les mêmes effets dramatiques comme dans la pièce source. En outre, la traduction de Trop c’est trop de Protais Asseng nous a permis de participer au combat contre l’abus de femme et à la promotion du planning familial. Également, la représentation théâtrale de la pièce ou même sa lecture aidera à éveiller la conscience mondiale au danger que pose la surpopulation, qui se traduit actuellement par la famine, des crises économiques et le chômage.

Œuvres citées

Asseng, P. Trop c’est trop. Paris: Hatier 1981.

Dionne, René, cité par Jaques Flamand. Écrire et traduire sur la voie de la création. Ottawa: Edition du Vermillons, 1983.)

Dubois, Jean et al. Dictionnaire du français contemporain. Paris: Larousse, 1971.

Flamand, Jacques. Ecrireettraduiresurlavoiedelacréation. Ottawa: Vermillon, 1983.

Newmark, Peter. A Textbook of Translation. London: Phoenix, 1998.

---. Approaches to Translation. Oxford: Pergamon Press, 1981.

Nida, Eugene et Charles R. Taber. The Theory and Practice of Translation. Leiden: E. J. Brill 1969.

Simpson, Ekundayo. “Evaluating a Translation, Objective Criteria” in Ayo Banjo et al. West African Studies in Modern Languages Teaching and Research. Federal Ministry of Education, Lagos, 1981

Styan, J. L. Elements of Drama. London: Cambridge University Press, 1979.

Vinay, J.-P. et J. Darbelnet. Stylistique comparée du français et de l’anglais. Paris: Didier, 1977.

About Dr. Enoch Ajunwa

Dr. Enoch Ajunwa Translation Journal

Dr. Enoch Ajunwa is an Associate Professor of French Language and Translation and former Head, Department of Modern European Languages, Faculty of Arts, the Nnamdi Azikiwe University, Awka, Anambra State of Nigeria. He hails from Otampa in Isuikwuato Local Government Area of Abia State, Nigeria.

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